Je suis à jour de la revue de presse sur les primeurs 2009 (de ce que j'en connais en tout cas). Il en ressort globalement une montée du positionnement de Laroze parmi les crus classés de St Emilion avec une note moyenne de 16/17 ce qui est très bien pour les journalistes qui notent plutôt bas et un peu juste pour ceux qui notent plus haut.
Je sens souvent un décalage entre la qualité du commentaire de dégustation qui est enthousiaste et la note qui est encore sur la retenue comme si le journaliste avait peur de se lâcher. Ils ont beaucoup plus de facilité à se lâcher sur des marques fortes et reconnues de tous car là ils ne prennent aucun risque, quitte à surnoter le vin. Se lâcher sur Laroze, c'est se mettre en avant et s'exposer. C'est là que je vois le travail que je dois faire auprès d'eux pour mieux leur faire connaître les vins de Laroze et surtout les millésimes plus anciens qui étonnent souvent par la qualité de leur tenue (fraîcheur aromatique). Dans ce registre Jean- Marc Quarin, qui fait un travail de fond considérable sur les vins de Bordeaux (13 ème rapport publié aujourd'hui), a été le premier il y a quelques années à découvrir que Laroze était capable de produire de superbes réussites.
La venue d'Hubert de Bouard dans l'équipe de conseil technique de Laroze nous apporte une visibilité et un crédit auprès des journalistes qui va les rassurer et les conforter dans l'idée que Laroze est une valeur sûre de Saint-Emilion qu'il serait dommage de ne pas en avoir dans sa cave.
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