Le bon côté de ce millésime 2007 est que les négociants retrouvent une vraie crédibilité et tout leur rôle de conseil auprés de leurs clients. En effet, vu les écarts et parfois les contradictions de commentaires faits par les journalistes sur un même vin, les acheteurs sont déroutés et se retournent vers leurs fournisseurs négociants pour leur apporter un vrai conseil. Faut-il acheter tel ou tel château qui vient de sortir en primeur?
Probablement (Mr Parker n'a pas encore dit son dernier mot) pas ou peu de notes mirobolantes qui font vendre à elles toutes seules, un millésime dont la qualité à elle seule ne suffit pas à le faire vendre...Alors on retrouve les fondamentaux (qualité, prix, notoriété, historique de la marque, travail fait par le domaine etc..) et là, qui mieux que vos négociants fournisseurs peuvent vous guider?
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